CRI DE COEUR
Les
enchêvetrements
de mon esprit;
Mes
pensées
dans un fouillis, melangées,
Comme
s’il n’y avait jamais y compris
L’idée
d’un sens, une raison, tout complet.
N’importe
comment j’ai la volonté
De
céder
sous le dirigisme de l’âme,
C’est
toujours de la faiblesse de mon corps
Que
je ne suis pas vainqueur de ma flâme.