CRI DE COEUR

 

Les enchêvetrements de mon esprit;

Mes pensées dans un fouillis, melangées,

Comme s’il n’y avait jamais y compris

L’idée d’un sens, une raison, tout complet.

 

N’importe comment j’ai la volonté

De céder sous le dirigisme de l’âme,

C’est toujours de la faiblesse de mon corps

Que je ne suis pas vainqueur de ma flâme.

 

Longmoor, 1948